À l’INC, la colère gronde. Pour Lionel Maugain, délégué du SNME-CFDT, la décision du gouvernement n’est qu’un « sacrifice » fondé sur des « raisons budgétaires pas du tout convaincantes ». Il précise : « Avec un déficit de 719.000 euros en 2024 pour un chiffre d’affaires de 11,6 millions d’euros, ce n’est pas l’INC qui ruine les finances de la France. »
Scandaleux.